Je t’ai appelé samedi, dimanche et encore ce matin où j’ai eu ta femme, n’ayant pas de nouvelles d’Amélia, je m’inquiétais. J’ai été surprise d’entendre Laetitia me dire qu’il fallait que j’arrête, je cite « ce bordel » ! Voilà plusieurs fois que j’essaie de téléphoner à ma petite fille et je n’ai aucune réponse ni par textos, ni par téléphone et encore moins par courrier. Que se passe-t-il encore ? Je pense avoir été de bonne composition en abandonnant la procédure pour ma demande de droits de visite sur Amélia dans le seul but d’apaiser nos différents puisqu’avant ce jugement du TGI de Nice en date du 05 février 2008, tout semblait allait beaucoup mieux entre nous. Tu ne sembles pas avoir tenu compte de ma lettre du 24 janvier 2008 qui t’informait que je désirais cesser toute procédure afin d’aplanir nos difficultés, mon seul but étant de pouvoir avoir des nouvelles de ma petite fille, un point c’est tout. Aujourd’hui et à nouveau, je n’ai plus de nouvelles, tu ne fais aucun effort bien au contraire, et je pense très sincèrement reprendre si besoin une procédure judiciaire que cette fois je n’abandonnerai pas avec une demande d’expertise psychologique de toutes les parties. En effet, ton comportement actuellement vis-à-vis de moi s’apparente à de la maltraitance psychologique que je veux faire reconnaître. Lorsque j’ai eu Amélia au téléphone, j’ai été surprise de l’entendre me dire « papa, maman a dit mamie méchante, t’as menti à la police ». Cette attitude est inadmissible. En plus, tu as fait croire aux invités de ton mariage que ta mère ne voulait pas venir mais que j’étais invitée, tout en posant un carton à mon nom sur la table à une place qui m’était soi-disant destinée, alors que tu as refusé ma présence. Aujourd’hui à cause de vos mensonges, je suis mal avec toute ma famille alors que ce n’était pas le cas jusqu’à présent. Tu es venu chez moi manger à Noël, prendre les cadeaux où tout s’est bien passé, alors que veux dire tout cela ? Que cherches-tu à faire ? Si tu désires ne plus entendre parler de moi, confirme-le moi par écrit en précisant que tu ne veux plus que j’appelle ma petite fille. Ce courrier a pour but de te faire réfléchir aux conséquences qui pourraient découler d’un tel conflit que je ne souhaite absolument pas mais si tu m’y obligeais, je n’hésiterai pas en allant jusqu’au bout d’une nouvelle procédure. Ta mère et une mamie,